Les élections régionales approchent. Certains de nos élus se représentent. La question se pose: quel est le bilan de leur mandat ? Pourquoi voter pour eux ?
Les conseillers régionaux ont rédigé cette présentation, Le bilan 2004-2010 de nos conseillers régionaux, dont voici les principaux éléments:
L’action des conseillers régionaux du groupe Démocrates et centristes entre 2004 et 2010 a été constamment inspirée par trois volontés :
- Des initiatives concrètes au service de tous
- Le choix de la proximité
- La prise en compte des besoins quotidiens des Franciliens sans à priori idéologique
Voici un résumé de la première partie de ce bilan, consacrées aux initiatives destinées à améliorer concrètement et simplement la vie quotidienne des franciliens.
Des initiatives pour répondre aux besoins quotidiens des Franciliens
Le développement des crèches
Le groupe Démocrates et Centristes a proposé dès octobre 2005 un dispositif d’aide financière.
Cette proposition a dans un 1er temps été rejetée par les groupes socialiste et communiste… pour être reprise dans un second temps par la majorité régionale !
L’aide au permis de conduire
Les élus Centristes ont proposé une aide financière de 600 euros ciblée sur les jeunes de 16 à 25 ans en démarche d’insertion ou de préqualification.
L’UMP vote contre ! (NDLR: la formule a été ensuite copiée par le conseil général des Yvelines )
Agence francilienne du logement
Un conseiller centriste a proposé la création d’une Agence régionale du logement consistant en un guichet unique permettant la centralisation de l’information à destination des demandeurs de logement.
Les socialistes et les Verts votent contre ; l’UMP s’abstient !
Amélioration des transports
– La carte « seniors »: la Gauche vote contre !
– Les voies réservées aux transports collectifs: la Gauche et les Verts votent contre !
– L’ouverture du métro le week-end: l’UMP refuse de voter et la Gauche vote contre !
Amélioration de la sécurité
Le groupe démocrate et centriste a rappelé que:
- l’Etat ne respecte pas ses engagements en matière de commissariat et de gendarmeries. Dès les années 1990, les élus centristes avaient proposé et obtenu un partage de la charge financière : la région financerait les bâtiments et l’Etat financerait les effectifs. Cet accord n’a pas été tenu, l’Etat n’ayant pas rempli sa part du contrat.
- la sécurité est une priorité dans les transports en commun et les lycées et demande en conséquence le maintien des crédits destinés à ces secteurs.
Pour les sous qui ne rentrent pas dans les « caisses », la région peut tenter un recours contre l’Etat pour le non respect de ses engagements…A. Montebourg dans la Drôme (je crois) et d’autres départements l’on fait avec succès auprès du Conseil d’Etat (je ne connais pas le détail de la procédure, je ne dispose pas des décisions référencées…si vous avez un juriste administrativiste dans vos relations…).
Mamouchka.