Le MoDem veut une réponse forte au manque de logements étudiants
Le logement universitaire est un gros point noir en Ile-de-France : seul un jeune sur 100 et moins de 30% des boursiers voient leur demande de logement satisfaite ! Trop nombreux sont les jeunes qui doivent travailler en parallèle de leurs études pour financer leur logement ! Trop nombreux sont ceux qui sont contraints d’utiliser les transports à plus de 30 minutes vers leur lieu d’études. La majorité sortante a pris un retard considérable dans la mise en oeuvre de son programme de construction de logements étudiants.
Or, l’Ile-de-France est la région la plus jeune de France ! Environ 600 000 étudiants de l’enseignement supérieur et plus de 85 000 apprentis constituent le vivier francilien de demain. Le Conseil Régional doit accompagner tous ces jeunes, étudiants et apprentis, pendant leur formation et leur permettre de se consacrer exclusivement à leurs études.
Pour apporter une réponse forte, le MoDem s’engage, en l’Ile-de-France, à construire 20 000 nouveaux logements étudiants sur la prochaine mandature. Ce programme sera mis en place en coopération étroite avec l’Etat et les collectivités territoriales concernées. Ces 20 000 logements supplémentaires sont finançables et constructibles dans les délais de la mandature.
Dans les Yvelines, le MoDem veillera à ce qu’une part significative de ces logements soient bâtis à proximité de l’Université de Versailles-Saint Quentin et dans les 28 communes du département accueillant des Centres de Formation d’Apprentis.
Conscients que la création de 20 000 logements étudiants supplémentaires ne saurait répondre entièrement à la forte demande des étudiants et apprentis, nous nous engageons à ce que la région, par le Syndicat du logement à créer, incite les particuliers, et notamment les seniors, à héberger de jeunes Franciliens. Un mécanisme d’agrément et de contrôle sera nécessaire afin de d’apporter des facilités et garanties financières aux particuliers qui s’engageront à loger chez eux étudiants et apprentis.
Communiqué de presse du 4 mars